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Santé

Hyperandrogénie

Certaines femmes peuvent présenter un déséquilibre hormonal avec une production accrue d’androgènes. C’est ce qu’on appelle l’hyperandrogénie, qui pourra donner lieu à divers symptômes difficiles à vivre comme : l’acné, une pilosité importante dans des zones peu fréquentes chez la femme (hirsutisme) ou encore une chute de cheveux importante (alopécie androgénétique). L’hyperandrogénie chez la femme est un phénomène fréquent.

Les androgènes font partie de la grande famille des hormones. Dans le langage courant, on parle de façon simplifiée d’« hormones masculines », car elle sont présentes en quantité importante chez l’homme bien qu’elles soient toutefois représentées également chez la femme !

Dans certains cas, l’hyperandrogénie peut également perturber le cycle féminin avec une ovulation de moins bonne qualité (dysovulation) ou absente (anovulation) et ainsi entraîner, chez certaines femmes, des troubles de la fertilité.  

Le Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK) est la première cause d’hyperandrogénie mais celle-ci peut également être présente hors SOPK, occasionnée par d’autres pathologies ou par d’autres phénomènes hormonaux.  J’aurai l’occasion de développer ce point dans cet article.

Avec cette publication, j’espère vous donner toutes les clés de compréhension pour vous aider à comprendre le rôle et le fonctionnement des androgènes mais aussi vous aider à déceler d’éventuels déséquilibres hormonaux.

Pour améliorer votre équilibre hormonal, n’hésitez pas à prendre RDV en naturopathie, en complément de votre suivi médical conventionnel.

Les androgènes, qu’est-ce c’est ?

Les androgènes appartiennent à une grande famille, ils existent sous 4 formes :

  • La testostérone
  • La delta 4 androstènedione
  • La déhydroépiandrostérone (DHEA)
  • La dihydrotestostérone (DHT)

Chez la femme, l’origine des androgènes est double avec une synthèse et une sécrétion par les ovaires et les glandes surrénales.

Dans cet article, j’évoquerai essentiellement la testostérone mais tous les androgènes sont importants et une perturbation de l’une de ces 4 hormones pourra impacter l’équilibre hormonal général.

Production ovarienne et surrénalienne des androgènes chez la femme

Comment sont produits les androgènes, et plus précisément la testostérone ?

Production de la testostérone

La testostérone est la principale représentante des hormones androgènes. Sa production se fait sous l’action de la LH et de la FSH (2 hormones produites par le cerveau qui contrôlent le cycle féminin), à partir du cholestérol, précurseur de toutes les hormones stéroïdes.

Le cholestérol se transforme en prégnénolone. La testostérone est produite directement à partir de l’androsténedione provenant de la DHEA ou de la progestérone. La production se fait pour la moitié dans le tissu adipeux à partir de la DHEA et de l’androsténedione, pour un quart dans les ovaires, et pour le reste, dans les glandes surrénales.

Synthèse des hormones sexuelles chez la femme

La testostérone circule en majorité dans le corps sous une forme inactive car elle est liée à son transporteur, la SHBG ou l’albumine. Une petite partie circule sous forme active et libre (non liée) et se dépose directement sur les récepteurs en donnant les effets androgéniques.

Pour prendre une comparaison plus facile à retenir : il faut imaginer que lorsque la testostérone est liée à son transporteur la SHBG, qu’on pourrait qualifier de « taxi », elle est inactive. En revanche, lorsqu’il n’y pas assez de taxis (SHBG), la testostérone se retrouve « en liberté » et est donc plus « puissante ».

Testostérone & SHBG

Remarque : En cas d’insulinorésistance, la SHBG est souvent effondrée, ce qui amplifie la fraction des androgènes sous leur forme libre et donc l’hyperandrogénie. La santé thyroïdienne et le taux d’œstrogènes ont également un impact sur le taux de SHBG.

Devenir de la testostérone :

La testostérone peut ensuite emprunter 2 chemins différents, en se transformant soit :

  • En DHT (dihydrotestostérone) grâce à l’enzyme 5 alpha-réductase, sorte de « testostérone ultra puissante » avec un fort pouvoir androgénique, qui est responsable notamment de l’alopécie androgénétique (chute de cheveux d’origine hormonale).
  • En œstrogènes, grâce à l’enzyme aromatase.
Testostérone - œstrogènes et DHT

Quel est le rôle des androgènes chez la femme ?

Rôle de la testostérone chez la femme

Bien que souvent décriée car on entend beaucoup parler des symptômes physiques désagréables causées par une hyperandrogénie, la testostérone reste une hormone très importante chez la femme.

Elle agit notamment sur :

  • La libido
  • La confiance en soi et la motivation
  • La fonction cognitive et la mémoire
  • La neuroprotection
  • La protection cardio-vasculaire
  • La densité osseuse
  • La qualité musculaire
  • La qualité de la peau
  • Le métabolisme : améliore le métabolisme glucidique et lipidique et la sensibilité à l’insuline

Rôle de la DHEA chez la femme

Je fais ici une petite parenthèse sur l’hormone DHEA car elle reste un androgène très important pour la femme.

La DHEA, également appelée « hormone de jouvence » est une hormone produite essentiellement par les glandes surrénales, toujours sous le contrôle du cerveau et à partir du cholestérol. Son rôle est majeur puisque c’est l’hormone précurseur de la testostérone et des œstrogènes.

La DHEA est bien une hormone androgène mais elle peut aussi être convertie en œstrogènes

D’ailleurs, à la ménopause, l’activité ovarienne s’éteint : les œstrogènes ne seront plus produits à partir des ovaires mais à partir de la DHEA (s’il en reste suffisamment !). Une bonne quantité de DHEA permet donc aux femmes de maintenir une bonne activité hormonale et une bonne imprégnation en œstrogènes après la ménopause !

La DHEA intervient également dans :

  • L’immunité
  • La gestion du stress : contrebalance les effets du stress (cortisol, adrénaline)
  • La vasodilation
  • Rôle neuroprotecteur
  • Le métabolisme
  • La fertilité
  • La qualité de la peau, des os, des muqueuses et des cheveux

Que faut-il retenir sur les androgènes ?

Vous l’aurez compris, chaque hormone est importante pour le corps : la testostérone comme la DHEA (et les autres androgènes) sont intéressantes pour notre santé.

Comme toujours, c’est l’excès (ou le déficit) de ces hormones ou encore l’équilibre entre les hormones androgènes vis à vis des autre autres hormones stéroïdes qui peut poser problème et être à l’origine de symptômes. On s’intéresse donc surtout à l’équilibre hormonal général.   

Dans cet article, j’aborderai uniquement la notion d’hyperandrogénie ou de sensibilité hormonale aux androgènes… mais le déficit en hormones androgènes est tout aussi délétère pour la santé !

Quels sont les signes d’un excès d’androgènes (hyperandrogénie) ?

Signes cliniques d’une hyperandrogénie

Les signes cliniques d’une hyperandrogénie sont :

  • L’acné
  • L’hyper séborrhée (peau grasse) au niveau du visage
  • La pilosité excessive, dure et pigmentée dans les zones sensibles aux androgènes (on parle alors d’hirsutisme), par exemple au niveau : du menton, cou, ventre ou dos. L’hirsutisme est évalué par le médecin/endocrinologue par le score de Ferriman et Gallwey (cf. schéma ci-dessous).
  • La chute de cheveux liée à la sensibilité aux hormones androgènes (alopécie androgénétique ou alopécie androgénique). Ce type de chute de cheveux a une véritable « signature » et s’exprime dans les zones sensibles aux androgènes, à savoir : au niveau de la raie médiane, du sommet de la tête (vertex) ou encore des golfes temporaux.   A ne pas confondre avec la chute de cheveux diffuse chez la femme qui peut avoir d’autres origines. 
  • Dans certains cas, l’hyperandrogénie entrainera des troubles du cycle menstruel avec une ovulation de moins bonne qualité ou une absence d’ovulation, induisant ainsi des cycles longs ou absents (aménorrhée) et une hypofertilité.   
  • Personnellement, dans ma pratique, je note parfois la présence d’une transpiration très odorante et d’une musculature développée (ou qui peut se développer très facilement).
Hirsutisme-Score de Ferriman et Gallwey
Hirsutisme-Score de Ferriman et Gallwey
Alopécie androgénétique
Alopécie Androgénétique – Source : Dictionnaire médical de l’académie de médecine

Fort heureusement, il n’est pas obligatoire d’associer tous les symptômes cités ci-dessus pour présenter une hyperandrogénie.  

Signes biologiques d’une hyperandrogénie

En première intention, il est possible de réaliser un bilan hormonal sanguin complet avec vos professionnels de santé (médecin, endocrinologue, gynécologue ou dermatologue) pour évaluer les hormones androgènes. En cas d’hyperandrogénie biologique, un ou plusieurs des 4 androgènes cités pourront être augmentés.  

Dans certains cas, d’autres investigations pourront être menées avec notamment des imageries médicales.

Hyperandrogénie chez la femme

Est-il obligatoire d’avoir une augmentation des hormones androgènes pour avoir des signes physiques d’hyperandrogénie ?

Cette question est FONDAMENTALE ! NON, il n’est pas nécessaire d’avoir une augmentation des androgènes sanguins pour présenter les symptômes d’hyperandrogénie cités précédemment. C’est là, toute la complexité des hormones.

On peut tout à fait présenter les symptômes ci-dessus (acné, alopécie, hirsutisme, etc.) :

  • Soit, par production en excès des hormones androgènes => c’est bien l’hyperandrogénie.  
  • Soit, par déficit en hormones « féminisantes » comme les œstrogènes ou la progestérone => on parle alors d’« hyperandrogénie relative ». Dans ce cas précis, les hormones androgènes ne sont pas en excès mais les hormones féminines sont tellement basses que c’est en quelque sorte les androgènes qui vont « dominer ». C’est pour cela qu’il est toujours intéressant d’évaluer l’équilibre hormonal général et non une seule hormone ou catégorie d’hormones.
  • Soit, par hypersensibilité des récepteurs aux androgènes : les androgènes sanguins sont dans les normes, le bilan hormonal est tout à fait normal… mais il y a une hypersensibilité au niveau des récepteurs cutanés, entrainant ainsi de l’acné, un hirsutisme ou une alopécie. => Certains professionnels parlent d’ hyperandrogénisme (à ne pas confondre avec l’hyperandrogénie). Sans entrer dans les détails, cette hypersensibilité serait en rapport avec une anomalie du corépresseur de la testostérone dont l’activité est diminuée de manière ethnique ou congénitale.

Quelques exemples pour mieux comprendre :

  • Certains femmes, atteintes du SOPK, pourront avoir un excès d’hormones androgènes sanguins (testostérone ou DHEA par exemple) et être concernées par l’hyperandrogénie.
  • Certaines femmes ménopausées, pourront observer, après la ménopause, une diminution des hormones féminines sans augmentation des hormones androgènes et voir apparaitre une hyperandrogénie relative avec des symptômes comme une pilosité plus importante au niveau du visage et une qualité de cheveux inférieure.
  • Certaines femmes minces (parfois avec un IMC bas), avec un stress chronique et/ou des restrictions alimentaires ou un déficit de la balance énergétique (pas assez d’apports alimentaires par rapport à la dépense énergétique) produiront moins d’œstrogènes et pourront présenter facilement des signes d’hyperandrogénisme. Je précise que le tissu adipeux (masse grasse) permet, en partie, de convertir la testostérone en ostéogènes via l’enzyme aromatase (cf. 3e schéma de cet article).
  • Enfin, dernier exemple, certaines femmes auront un très bon équilibre hormonal sans aucune dysfonction mais présenteront une sensibilité génétique aux hormones androgènes, provoquant chez elle une alopécie androgénétique ou une pilosité importante par exemple.

Les différentes causes d’hyperandrogénie chez la femme

Les causes d’hyperandrogénie chez la femmes sont nombreuses, on peut notamment citer :

Les pathologies en lien avec une hyperandrogénie :

  • Le Syndrome des ovaires Polykystique (SOPK), 1erè cause d’hyperandrogénie, qui entraine une augmentation de la testostérone produite par les ovaires (d’autres androgènes peuvent également être impliqués).
  • Une maladie des surrénales comme l’Hyperplasie congénitale des surrénales (bloc enzymatique en 21 hydroxylase par exemple) ou encore le Syndrome de Cushing.
  • L’hypothyroïdie
  • D’autre maladies hypophysaires, surrénaliennes ou ovariennes

Les médicaments en lien avec une hyperandrogénie :

  • Certaines pilules contraceptives contiennent un progestatif avec un pouvoir fortement androgénique pouvant expliquer une hyperandrogénie apparaissant sous traitement hormonal mal adapté.
  • Le stérilet hormonal contenant un progestatif, le lévonorgestrel, peut aussi induire des symptômes d’hyperandrogénie chez certaines femmes.
  • D’autres médicaments peuvent également être impliqués

A noter : l’arrêt d’un traitement hormonal, comme la pilule oestroprogestative, peut également entrainer dans les mois qui suivent son arrêt une hyperandrogénie ponctuelle. S’il n’y a pas de pathologie spécifique, cette hyperandrogénie devrait être transitoire et s’effacer au fur et à mesure des mois et avec le retour d’une ovulation qualitative.

Les causes fonctionnelles satellites qui peuvent impacter l’hyperandrogénie

D’autres causes fonctionnelles peuvent également déclencher ou aggraver l’hyperandrogénie.  

La résistance à l’insuline, associée au non au surpoids

La résistance à l’insuline et l’hyperinsulinisme qui en résulte amplifie les androgènes, par différents mécanismes :

  • Action directe sur certaines cellules des follicules ovariens (cellules thécales) avec stimulation de la synthèse des androgènes
  • Stimulation de la sécrétion de LH, une hormone sécrétée au niveau du cerveau, qui augmente à son tour la synthèse d’androgène par les ovaires
  • Inhibition de la synthèse de SHBG (= Sex Hormone-Binding Globulin) qui est la protéine de transport des hormones sexuelles (vous vous souvenez des fameux « taxis hormonaux » évoqués en début d’article ?) . La diminution de taux de SHBG est associée à des taux d’androgènes libres élevés (= hormones non liées particulièrement actives !)
Facteur aggravant de l'insulino-resistance dans le SOPK

Le surpoids

Le surpoids favorise la résistance à l’insuline et l’inflammation chronique et augmente ainsi les risques de développer une hyperandrogénie.  

D’autres causes encore peuvent favoriser l’hyperandrogénie :

  • L’inflammation chronique à bas bruit
  • L’activité importante de l’enzyme 5 alpha réductase qui favorise la voie d’androgènes hyper puissants (DHT)
  • Un déficit en progestérone, lié par exemple à un trouble de l’ovulation ou une phase lutéale courte
  • Un ralentissement thyroïdien
  • Un stress chronique
  • Un excès de prolactine : cette hormone est synthétisée par l’hypophyse et est responsable de la montée de lait chez la femme. Parfois, cette hormone est augmentée chez la femme et aura une répercussion sur l’équilibre hormonal général, pouvant favoriser l’hyperandrogénie.
  • Un déséquilibre entre les œstrogènes et les androgènes
  • Un poids insuffisant, des restriction alimentaires, une activité physique excessive par rapport aux apports alimentaires (= déséquilibre de la balance énergétique)
  • Les variations hormonales dans la vie d’une femme : changement, début ou arrêt d’un contraceptif ou traitement hormonal, la puberté, la grossesse et la ménopause
  • Les carences alimentaires ou en micronutriments
  • Les perturbateurs endocriniens

Quels sont les traitements possibles pour l’hyperandrogénie ?

La prise en charge de l’hyperandrogénie dépend bien évidement de la cause de cette hyperandrogénie : hormones androgènes en excès , et si oui lesquelles? pathologie médicale sous-jacente ? sensibilité des récepteurs ? déséquilibre hormonal ? surpoids et/ou résistance à l’insuline ? etc…

En fonction de la ou les causes identifiées, plusieurs stratégies pourront être mises en place.

Voici quelques exemples à titre indicatif. Il convient bien évidement à chaque femme de consulter différents médecins et spécialistes afin de mettre en place une stratégie personnalisée et adaptée à ses besoins.   

Prise en charge médicale de l’hyperandrogénie

  • Prise en charge du surpoids et/ou résistance à l’insuline et/ou syndrome métabolique avec des mesures hygiéno-diététiques dans un premiers temps, et des traitements médicaux insulinosensibilisants (comme la Metformine par exemple) dans un second temps, si cela est nécessaire.
  • Prise en charge de l’hypothyroïdie
  • Diminution du taux d’androgènes en diminuant la production ovarienne avec des traitements médicaux anti-gonadotrope. Les traitements anti-gonadotrope bloquent le fonctionnement ovarien et mettent « l’ovaire au repos » artificiellement, diminuant ainsi l’effet des androgènes. On peut citer les pilules contraceptives oestroprogestative avec un progestatif non ou anti androgénique.
  • Des traitements d’application locale pour agir sur l’alopécie androgénique (Minoxidil) ou la pilosité du visage (Vaniqa®) ou encore des traitements anti-acnéiques.
  • Des traitements cosmétiques à réaliser chez un dermatologue comme l’épilation au laser ou électrique
  • Dans certains cas d’hyperandrogénie sévère, la contraception oestroprogestative classique est insuffisante et le recours aux anti-androgènes devient nécessaire comme la Spironolactone ou l’Acétate de cyprotérone.
  • Diminution du taux d’androgènes en diminuant la production surrénalienne avec des traitements médicaux comme l’hydrocortisone.

Je ne développe pas davantage ce paragraphe mais si le sujet vous intéresse, n’hésitez pas à me le faire savoir en commentaire. Je pourrais réaliser un article de vulgarisation scientifique sur le fonctionnement des traitements pour l’hyperandrogénie. En attendant, je vous oriente vers l’excellent article (mais un peu compliqué pour les novices !) du Docteur Christian Jamin, Spécialiste en médecine interne, endocrinologie et gynécologie médicale . 

Accompagnement de l’hyperandrogénie en naturopathie et santé fonctionnelle

Les traitements médicaux sont très efficaces pour gérer les symptômes de l’hyperandrogénie, mais ils ne traitent pas toujours la ou les causes sous-jacentes du problème. Ils offrent une solution rapide pour soulager les femmes de leurs symptômes, ces derniers pouvant être profondément dévastateurs, notamment sur l’image, l’estime et la confiance en soi. 

En parallèle du suivi médical conventionnel, la naturopathie peut également être une approche complémentaire pour aider à gérer l’hyperandrogénie.

La naturopathie vise à soutenir l’organisme pour qu’il puisse retrouver son équilibre hormonal naturel, en utilisant une variété de techniques, telles que : l’alimentation, l’activité physique, les compléments alimentaires, pour aider les femmes atteintes d’hyperandrogénie à gérer leurs symptômes et améliorer leur santé globale.

Vous souffrez d’hyperandrogénie ?

La naturopathie peut vous aider à gérer vos symptômes et à retrouver votre équilibre hormonal.
En tant que naturopathe, je peux vous proposer un accompagnement personnalisé qui ciblera les causes sous-jacentes.
Voici quelques exemples de pistes que nous pourrons explorer ensemble :

  • Moduler l’inflammation chronique
  • Favoriser le retour d’un cycle féminin régulier et d’une ovulation de qualité
  • Réguler la résistance à l’insuline
  • Soutenir la fonction thyroïdienne
  • Combler d’éventuelles carences alimentaires
  • Sensibiliser aux perturbateurs endocriniens
  • Accompagner pour atteindre un « poids de forme », ni trop haut ni trop bas, sans restriction, pour favoriser l’équilibre hormonal général
  • Utiliser les plantes, la phyto et la micronutrition, à bon escient, suivant son profil hormonal personnel, pour agir sur l’équilibre hormonal
  • Modifier son hygiène de vie pour améliorer l’équilibre hormonal

Pour améliorer votre équilibre hormonal, n’hésitez pas à prendre RDV en naturopathie, en complément de votre suivi médical conventionnel.

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